Familiales (Page n°9)

Infiniti, encore moins connue que Lexus sur le marché du premium, souffre d'un réseau minimaliste et d'une toute petite gamme. Cette Q50 l'élargit en visant les familiales premium, sans toutefois en offrir toutes les qualités. C'est dire le chemin qu'il reste à parcourir pour devenir une alternative aux références.

Après s’être refait une beauté, l’original break Volvo V60 s'offre d’inédits quatre cylindres, dont ce diesel bi-turbo de 181 ch. Il anime brillamment cette version D4, qui n’est pourtant pas sans lacunes.

Longtemps après les Mégane et Scénic, la Laguna dCi 110 peut enfin profiter d’une boîte automatique à double embrayage. Une transmission à la douceur bien adaptée à cette familiale.

Un hayon, une hauteur supérieure à la moyenne, des aspects pratiques soignés... La Série 3 GT bouscule les conventions BMW. Mais cette berline familiale atypique possède un tempérament placide, en particulier dans cette version diesel d'entrée de gamme de 143 ch.

Dans ce grand break, Volvo a glissé le meilleur de sa technologie pour lui permettre de rouler longtemps en électrique en ville, d'être 4x4 dans les chemins, tout en gardant une belle sobriété et de bonne performances sur route.

Pour sa troisième génération, la Lexus IS échange le diesel contre l'hybride. Un choix qui lui réussit, puisque cette motorisation parvient à concilier un agrément et des performances d'excellent niveau avec un appétit d'oiseau.

Cadillac tente une nouvelle percée sur le marché européen. Avec sa familiale ATS, qui s’attaque au créneau des Série 3 et Classe C et A4. Courageux, surtout avec un quatre-cylindres turbocompressé de 276 ch pour seul moteur.

En associant le 1.4 TSI de 150 ch à un moteur électrique de 27 ch, cette Jetta affiche des performances étonnantes et un appétit d'oiseau.

Installé aux côtés du 2.0 de 184 ch, le 1.6 de 170 ch de cette 320i EfficientDynamics Edition avance une belle sobriété tout en préservant l’agrément de conduite.

La Classe C est d'un classicisme consommé, rassurant au possible. La CLA, plus jeune d'esprit,

joue les "coupés quatre portes" en arborant une tenue sexy. Pourtant, quand elles déroulent

leur partition, ces Mercedes de même format identique, équipées toutes deux du 2.2 CDI et affichées

quasiment au même prix ne se montrent pas si différentes.

Vingt centimètres, ça peut vous changer la vie. Si, si! La preuve avec cette Série 3 profitant d'un format "XL" (4,82 m, au lieu de 4,62) et dotée d’un hayon. Outre le fait qu’elle rend la Série 3 enfin habitable, cette 320d GT se montre pratique et confortable.

Même à l'arrêt, elle semble bondir: avec son profil de coupé quatre portes, ses courbes très travaillées et sa poupe d'étude de style, la CLA épate. Mais son goût marqué pour le spectacle qui n'a pas que des avantages  malgré ses 4,63 m, cette "baby-CLS" n'est ni spacieuse... ni bon marché.

Ces deux breaks-là ne se contentent pas d'être spacieux et fonctionnels. Ils offrent aussi un

zeste de séduction, sans forcer côté tarifs. Bref, du bonheur pur beurre pour les gros rouleurs.

Familiale par sa taille et son habitabilité, la dernière Octavia annonce des tarifs inférieurs à ceux de bien des compactes. De quoi perturber les protagonistes des deux catégories, y compris ses cousines directes nées de la standardisation chère au groupe VW.

L’heure est venue pour Audi de renouveler le tonitruant RS4, son break de course sur base d'A4. Toujours mû par un V8 4.2, il offre aujourd’hui 450 chevaux de feu sans négliger les aspects pratiques et la facilité de conduite pour un usage au quotidien. De quoi faire le bonheur des pères de famille hyperactifs!

À défaut de proposer un moteur essence recommandable, la Cruze peut se justifier dans cette version diesel sobre, au prix qui reste contenu.

Six mois après la berline, le break déboule. Férue d'aspects pratiques, la Série 3 Touring est solidement armée pour le quotidien. Notamment avec ce quatre-cylindres essence de 245 ch, aussi performant qu'onctueux et doté d'une super boîte auto.

On se sent rapidement chez soi dans cette 318d, facile à appréhender et plus confortable qu'auparavant. Mais insonorisation et amortissement viennent ternir l'agrément au quotidien.

Chasse au CO2 oblige, la 328i doit désormais se contenter d'un quatre-cylindres turbo. Tant pis pour l'exclusivité, même si cette BMW présente un équilibre enviable.

Annoncée dès la présentation de l'Insignia, en 2008, la version diesel biturbo de 195 ch débarque enfin en concessions. Sans creuser un fossé avec le CDTi 160 ch, en agrément comme en performances.